Whitney TOURE
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J’avais déjà eu une première expérience négative avec cette société, qui m’avait très franchement laissé un sentiment d’amertume et de défiance vis-à-vis des personnes qui constituent cette entreprise, mais lorsqu’ils m’ont contacté en vu d’un poste à pourvoir pour lequel je ne considérais pas mon parcours en adéquation, j’ai tout de même été à l’écoute au vu de leur fort intérêt pour mon profil.
Après un premier entretien téléphonique, ils m’ont convié à un rendez-vous physique au sein de leur locaux pour faire la rencontre de deux des responsables du service auquel ils souhaitaient me rattacher, ainsi que du chargée de recrutement qui m’a sollicité pour ce poste et avec qui j’avais passé la première étape du processus.
En amont de ce rendez-vous, on me demande de bien vouloir me soumettre à une série de tests afin de mieux cerner la personne que je suis et la responsable de service que je peux être.
Ce qui prend un temps considérable et de l’énergie, surtout lorsque vous avez d’autres processus de recrutement en cours, mais je m’y soumets tout de même.
La première fois on m’avait demandé un exposé en trois temps afin de démontrer ma motivation, avant de m’indiquer qu’ils avaient été « effrayés » par ma « surmotivation ». Ils sont donc coutumiers de ce genre de pratiques.
Lors de notre entretien physique, au ton bon enfant et chaleureux, ils m’indiquent recruter en externe car personne n’est intéressée par le poste en interne et affirment fortement leur intérêt pour mon profil, confirmant qu’ils m’imaginent très bien à ce poste.
L’entretien se termine même sur la présentation de l’environnement de travail et le bureau que j’occuperais potentiellement.
Lorsque l’on me raccompagne, tout sourire, on m’indique me tenir très rapidement au courant puisqu’ils souhaitent une prise de fonction rapide et effective.
Sauf que l’on ne me tient nullement informée.
Et je suis contrainte de relancer.
Là, on m'indique qu’un salarié en interne, sorti du chapeau, est finalement intéressé par le poste, alors même que l’on m’avait assuré que personne ne l’était, ce qui me paraissait cohérent vu que le poste avait été proposé en interne 2 mois auparavant, et comme il s’agit d’un de leurs salariés, ils souhaitent privilégier la montée en compétences en interne, sans toutefois confirmer réellement son embauche définitive puisque cette personne ne pourrait être disponible qu’au mois de Mai/Juin.
La chargée de recrutement m’assure donc revenir vers moi dans les meilleurs délais afin de me tenir au courant de l’évolution de cette situation.
Elle me propose quand même, au détour de la conversation, d’autres postes si jamais celui-ci n’aboutissait finalement pas.
1 semaine passe, puis deux, puis trois et je n’ai toujours aucune nouvelle.
Je rappelle donc la chargée de recrutement afin d’avoir un retour définitif car j’estime qu’au bout de 3 semaines, cela se doit d’être clair. Mais ça ne l’est toujours pas puisque le processus est apparemment toujours en cours, et qu’elle n’a pas davantage d’informations à me communiquer.
Je trouve ces méthodes inacceptables, et même profondément irrespectueuses car on exige de vous une implication qu’ils ne sont pas capables de rendre à la hauteur de vos efforts.
Et vous devez répondre à ces exigences en passant des tests multiples, des entretiens, en vous déplaçant chez eux à Colomiers, soit 45 minutes de mon domicile, tout cela en vain puisque finalement leur choix se porte sur une personne qui ne faisait pas partie de l’équation de prime abord.
J’avais déjà une très mauvaise perception de Sonovision, ils ne viennent que confirmer celle-ci suite à cette seconde expérience.
On ne respecte pas l’humain chez eux, on ne respecte personne.
C’était la seconde et dernière fois que Sonovision me faisait perdre mon temps.
RÉPONSE : J’ai répondu à votre mail comprenant ce même copié-collé et vous ai exposé ma vision de la situation. Vous n’y avez pas donné suite mais vous êtes empressés de venir argumenter ici avec l’exact même retour.
Je pense qu’il n’y a donc plus rien à ajouter.